Le rythme
du douzième de seconde et son octave, le rythme du sixième de
seconde, constituent les deux rythmes de base de l'électromyogamme au
repos (courant électrique
musculaire). On trouve des ondes de cet ordre de grandeur dans l'électro-encéphalogramme
, les ondes alpha.
Le phosphène
étant comme l'octave inférieure de la pensée (ce qui explique
que les lois des pensées et des phosphènes soient les mêmes),
la répétition d'un son mental
au rythme du douzième de seconde tend à dissoudre tout autre
pensée, comme le
phosphène est dissous par ce rythme sonore. C'est dans cet élément
particulier, sorte de substance mentale fondamentale que se manifestent des éléments
para-normaux
Les effets de la pensée au sixième
de seconde (et de ses premières octaves supérieures et inférieures)
sont si étranges qu'ils
sont tout en même temps incroyables et pratiquement impossible à décrire.
Il faut y être passé pour s'en rendre compte.
Effets thérapeutiques : les effets thérapeutiques
de la pensée au sixième de seconde sont plus marqués que pour toute autre
méthode de traitement mental d'un mal organique
Interaction entre le système musculaire et la pensée
au sixième de seconde : lorsque les muscles sont au repos, ils
sont parcourus par des ondes électriques que l'on met en évidence
en piquant des électrodes
dans le muscle lui-même. L'onde principale est très régulière
au rythme du sixième de seconde, son octave supérieure
au douzième de seconde peut
aussi
être mise en évidence. Il est compréhensible qu'il
s'établisse des interactions
entre ce mode de pensée et le système musculaire. Celles-ci
se feront dans les deux sens : d'une part de la pensée au muscle
et d'autre part du muscle à
la pensée.
Association du mantra rapide et du mixage phosphénique
: la répétition pendant la présence d'un phosphène
d'un mantra rapide au sixième de seconde sera de plus en plus
facile et se déclenchera souvent
d'elle-même
durant la journée, spontanément. Elle s'entretient alors
par un minime effort de volonté sans pour cela être obsédante.
Les qualités développées par
le mantra rapide sont a peu près les mêmes que celles réveillées
par le mixage phosphénique
car c'est la même fonction du cerveau, la fonction rythmo-phosphénique
qui est touchée par les deux méthodes. Avec cette nuance
que par le mantra rapide
l'effet se déroule sur un plan plus subtil.
Le mantra rapide et la koundalini : la répétition
d'un mantra rapide se transforme en un claquement, la rapidité des
successions donnant l'impression d'un crépitement. Or certains
textes sanscrits disent que "Koundalini" se lève
avec un bruit de crépitement
Perception d'un fluide : après un certain temps aparaissent
les effets dits "occultes" parce que plus difficilement descriptibles.
Une sorte de toucher à distance permet de distinguer une pâte
qui décrit des volutes très semblables par leur consistance à celle
de la pâte à berlingots. Cette pâte décrit
des cercles en changeant de sens de temps à autre. Cette pâte
donne l'impression d'être à la fois réelle et immatérielle,
d'être une réalité supérieure. C'est là où nous
touchons l'aspect métaphysique et indescriptible du phénomène.
Illumination : la diffusion de ce rythme dans les
zones de l'imagination visuelle donne naissance à une sensation
d'illumination. La nature de la lumière perçue ainsi est
différente
de la lumière simplement
imaginée mais également de celle du phosphène.
Elle est plus douce, très
calme. Elle parait le plus souvent jaillir de l'intérieur du corps.
Dédoublement : la vibration de la pensée rapide
va diffuser dans tout le schéma corporel. L'image coenesthésique
de notre corps va alors entrer en vibration au rythme du sixième
de seconde. Cela devient
un véritable tremblement en esprit. La conséquence
en est la sensation de flotter hors du corps, autrement dit,
d'être dédoublé.
Eveil des chackras : mais l'expérience de beaucoup
la plus extraordinaire est celle de l'éveil des centres
psychiques ou chackras. Quand les ondes entretenues se réfléchissent
contre des parois dans un espace clos de
forme
définie, les
interférences entre elles créent des noeuds et
des ventres de vibration. Or les centres psychiques sont disposés
aux noeuds d'une corde qui irait du sommet
du crâne au périnée. Ce sont donc ces interactions
qui vont stimuler les chackras et des sensations vont naître
en ces points : voluptée localisée,
joie intense
...
Tremblement du soleil : cette vibration du sixième
de seconde se manifeste parfois lors de la fixation du soleil : il parait
alors trembler. C'est d'ailleurs ainsi qu'a débuté le "Prodige
solaire de Fatima".
Association avec le bain de soleil : les effets
de la pensée au sixième de seconde sont grandement amplifiés
lorsqu'ils sont pratiqués pendant un bain de soleil. On ressent
alors beaucoup mieux la réalité du tourbillon de la koundalini.
Ainsi les exercices de pensée rythmée au sixième
de seconde ne peuvent être
séparés du phosphène. Le Mixage Phosphénique est
le premier étage , le mantra
rapide étant lui le second étage qui va donner accés à un
univers plus subtil, plus profond. Mais on ne saurait monter au deuxième
sans passe par le premier pour y puiser les forces nécessaires à une
ascension rapide.
Il est intéressant d'utiliser de préférence
le sixième alterné, c'est beaucoup
plus agréable car plus une fréquence est pénible et énervante
en simultané,
plus elle est relaxante et euphorisante en alternatif. Le sixième de
seconde est alors envoyé alternativement sur un rythme de une seconde
d'une oreille
à l'autre. Cela offre l'avantage d'introduire un nouveau rythme de une
seconde et de faire ainsi travailler alternativement les deux hémisphères
du cerveau. Pour écouter un extrait de son au sixième alterné cliquez
sur le sigle ci-dessous :